Semi-Marathon Man à Bordeaux : L’entraînement
Ami Sportif Lecteur, Bonjour !
Alors ça y est – roulements de tambours et tintement des cymbales – : je me suis officiellement inscrit à l’édition 2017 du Semi-Marathon de Bordeaux !
Et si nous regardons objectivement la situation : je n’ai pas fait de sport depuis plus de 4 ans, on est fin Septembre et 7 petits mois me séparent de l’événement, j’ai le dos en vrac (avec un “sacré chantier” – pour paraphraser mon ostéopathe)… Donc 222 jours pour se remettre en forme, ça me paraît…
– Tranquille? Facile ? Réalisable ?
– Non, ce ne sont pas les premiers mots qui me viennent à l’esprit là… Je dirais plutôt : Oh put***, je suis complètement inconscient !!! (Ceci dit, je sens que je vais bien rigoler !)
Le Semi-Marathon de Bordeaux : Après l’inscription… la Réalité : il faut se préparer et s’entrainer !
Bon, une seule solution s’impose – évidente en fait : se préparer physiquement et mentalement, avec sérieux et abnégation (et c’est là que je commence à rigoler…)!
Et parce que les organisateurs sont assez malins, ils ont établi une règle : une fois payé, il n’est plus possible de se faire rembourser ! Donc, comme on dit dans le management : “BAHYAPUKA”…
“Yapuka” se traduit donc par la mise en place d’un programme d’entraînement que j’imagine digne d’un vrai camp d’entrainement militaire (en réalité, je ne fais que l’imaginer, parce que je n’ai pas fait mon service…), avec 3 buts sous-jacents :
1- ne plus avoir mal au dos (ou en tous cas moins),
2- perdre un peu du gras – car à mon retour en France, la reprise d’un régime très strict (à base principalement de : pain, vin, fromage, charcuterie, ah oui et rhum aussi…) s’était traduite par une prise de poids de près de 8 kgs –
3- développer quelques muscles, endurance et “cardio” pour la tenir la distance !
Donc dire :
– “Au Revoir” :Apéritifs, Dîners-copieux-accompagnés-de-bons-vins, Cocktails, Rhum, Charcuterie, Fromage, Grasses Matinées (…)
– et “Bonjour” : Alimentation Saine, Hygiène de Vie et Entraînements Sportifs Réguliers !
Internet comme Coach pour un bon entrainement au Semi Marathon de Bordeaux : Conseils et Retours d’Expérience
Concernant le programme, je dois avouer qu’entre 2 publicités Google et après avoir fait le tri entre : les sites de voyages, les sites d’informations vérifiées et ceux de “fake news”, de recette, de téléchargements illégaux, sites marchands, voire même des sites à caractère pornographique (j’aimerais comprendre, comment en recherchant “conseils préparation pour un premier semi-marathon”, je tombe sur un site de “Cougars nues et coquines” ???) et les sites sur tout plein de sujets divers et variés, Internet est une mine d’or !
On y trouve pléthore de blogs et articles avec un bon nombre de bons conseils – et même des entraînements – pour assurer un bonne et saine préparation au semi-marathon…
Dont acte !
(Note pour plus tard : il faut vraiment que je définisse mieux les mots clefs de mes recherches…)
Donc après avoir fait le tri entre :
- les Conseils pour choisir ses : chaussures, chaussettes, shorts, T-shirts, gourdes (celles pour boire…), montres-gps connectées, compléments alimentaires (
EPO, GHB, Ecsta, Coke,Vitamine C, Acérola, Gelée Royale– oui, celle des abeilles –Ginseng, Gingembre, Maca, Spiruline, Fer, Zinc, Magnésium… Mais bon, finalement rien qui n’impressionne un cycliste du Tour de France), poignets éponges, gels hydratants, applications pour Smartphones, sélections de Playlists… - les Blogs avec des sujets d’articles essentiels : Courir en short ou avec une simple feuille de vigne ? Porter un t-shirt technique, en lin ou en coton égyptien ? Parler ou écouter la musique lors des entraînements ? Quel Smartphone choisir ? Runtastic ou Runkeeper : Quelle application utiliser pour suivre ses performances? Quelle dimension de Sparadrap pour protéger les tétons pendant la course (aaaah, je crois que je tiens mes mots clefs qui m’ont aiguillé vers le site des Cougars…) ? Porter un bandana fluo ou un foulard autour de la tête sans avoir l’air ridicule ?
- les différents récits et retours d’expérience de coureurs (tiens, un peu comme ce beau blog).
- des sites proposant les services de coachs sportifs ou des inscriptions à des salles de sport.
- les pubs pour les sites Cougars (arghhhh… put*&$ de mots clefs !!).
Vous aurez ainsi suffisamment d’éléments en votre possession pour choisir un programme ou mieux encore (et si vous vous êtes joueur) : établir votre propre programme pour votre Semi-Marathon !
Mais, ami lecteur, j’imagine qu’à ce moment du récit, vous vous posez certainement la question : Pourquoi diable faire de la course à pieds, alors qu’il existe des sports nettement plus « sympas » ? (et la question sous-jacente : utilise-t’on encore l’expression « diable » de nos jours dans la langue française, ou seulement du temps de Jean-Baptiste Poquelin ?)
Oui, c’est vrai, il existe d’autres sports plus « sympas » (le ski, la plongée, les arts martiaux, le curling entre autres)… Mais bon, personnellement je vois dans la course à pieds au moins 3 avantages :
- d’abord parce que c’est facile (mouais, encore que…)
- ensuite, et restons pragmatique, parce que ça n’est pas cher: une paire de baskets, un t-shirt et un short suffisent pour courir à peu près partout en ville, dans les parcs, en bord de mer, dans la forêt, en montagne (oui, c’est un peu moins facile là), à Jakarta (heuuu, non je plaisante), sur un tapis de course…
- et enfin parce que, avec un bon podcast ou une sélection musicale, c’est une bonne opportunité de « se mettre dans sa bulle » et, grâce à l’effort physique prolongé, avoir un bon exutoire à la journée passée.
Et en fait, je vois un quatrième : aussi parce que mon boss pratique assidûment le jogging (et a même participé à plusieurs marathons et semi-marathons) et que mine de rien, c’est quand même important de faire une activité similaire à celle de son boss (Heureusement pour moi qu’il ne fait pas de la Lutte Gréco-Romaine !).
Comment trouver le bon rythme de la Course à Pieds ? En parlant et en courant en même temps, tout simplement.
Et si vous ne vous sentez pas de courir tout seul parce que vous avez besoin d’un groupe pour vous motiver, vous pouvez vous tout aussi bien courir avec d’autres personnes, voire des amis (ou votre boss aussi…), et ainsi discuter en hachant ses mots, apprendre à faire des phrases courtes, synthétiques, cracher un poumon et jurer de ne plus jamais toucher une cigarette de votre vie (et pourtant je ne fume pas)…
Ceci dit, bonne nouvelle : si vous arrivez à courir en parlant, c’est que vous avez trouvé votre rythme !
Le Semi Marathon de Bordeaux : “Mens Sana in Corpore Sano”.
Enfin bref, comme je disais : un des gros avantages de la course à pieds, c’est que ça ne coûte pas cher !
En effet : un short, un t-shirt et une bonne paire de chaussures suffisent pour se défouler (ah oui, des chaussettes aussi… si, si !) et contribuer à développer un « Mens sana in corpore sano » (“Un esprit sain dans un corps sain”), comme l’écrivait Juvénal dans ses Satires au premier siècle…
Alors, pour ce qui est du « Mens Sana », je m’étais préparé un petit programme comprenant :
– la lecture d’ouvrages sur le développement personnel,
– l’écoute de podcasts de motivation,
– la pratique régulière du Yoga (idéal pour pour gagner en souplesse, travailler la respiration et surtout se sentir beaucoup mieux, tant physiquement que mentalement)
– et parce que toutes les réponses ne se trouvent ni dans les livres, ni sur Google, la pratique quotidienne de la Méditation de Pleine Conscience est idéale pour retrouver la motivation (non, je veux pas y aller ; si tu y vas ; non ; si ; non ; si; non ; non ; si… ah aaaah !), canaliser les émotions et gérer sa concentration (grâce à une appli : “Headspace” pour ne pas la nommer) !
Donc quelques outils intéressants pour développer un bon mental et ainsi mieux appréhender et gérer l’épreuve. Sincèrement, ce programme a été super intéressant à suivre !
En revanche, pour ce qui est du « Corpore Sano », alors… heuuu… voilà-voilà-voilà… Heu, comment dire… Bon, Oui d’accord : c’est là que ça s’est un tout petit peu corsé…
Le programme de préparation au semi-marathon impliquait en effet de se lever trop très tôt pour : boire un verre d’eau, partir dès potron-minet pratiquer un petit “footing” de 30-40 minutes, enchaîner par les étirements de rigueur, suivi (idéalement) d’une série de pompes (enfin 2-3… pompes hein, pas séries) et d’abdos afin de renforcer la ceinture abdominale. Puis, après une bonne douche, se recoucher prendre un bon petit déjeuner (céréales dans du fromage blanc 0%, jus de fruits frais, café-non-pas-de-café-mais-du thé) à la faveur du soleil qui étire alors lentement ses rayons à l’horizon, comme on délie ses bras en sortant paresseusement du confort de sa couette (j’avoue : il me faut du temps pour sortir du lit…). Et ainsi revigoré, partir au travail…
Et afin de poursuivre ce rythme vertueux le week-end, sacrifier la traditionnelle grasse-matinée-sous-la-couette du dimanche matin, quand il fait beau quelque soit le temps (il fait toujours beau à Bordeaux), pour se fondre dans la foule d’anonymes qui courent au Parc Bordelais, Jardin Public, le long des quais ou dans les rues de Bordeaux. Et slalomant entre les piétons et les vélos-qui-roulent-sur-le-trottoir-et-encore-mieux-à-contre-sens-alors-que-c’est-interdit, profiter de courir à l’ombre des arbres et en bord de Garonne pour respirer un air frais et pur chargé de bonnes odeurs de cannabis – les fumeurs ponctuant à intervalles réguliers le parcours (par endroit on se croirait à Amsterdam) – des différentes essences d’arbres et plantes qui longent le parcours et ainsi se purifier les poumons des gaz d’échappement.
De l’importance de la rigueur lors de l’entrainement au Semi Marathon de Bordeaux…
Un beau programme donc, et avec une double promesse : Ainsi remis en forme, être fin prêt à attaquer la journée de travail et contribuer à assainir et détoxifier son corps.
Bon, j’aurais aimé sincèrement écrire que j’ai appliqué le programme à la lettre et sans rechigner, mais évidemment malheureusement la réalité fût toute autre !
Car oui, ces bonnes intentions se sont envolées aussi rapidement que les bonnes résolutions prises à l’aube naissante de la nouvelle année, soit juste avant les premiers effets de la gueule de bois !
L’envie y était pourtant (si,si, je vous jure… Enfin, en tous cas, au début) !
Et puis, la procrastination prenant un peu le dessus, avec entre autres excuses d’une mauvaise foi patentée telles que : des conditions météos pas toujours favorables (ah bon, on peut courir sous la pluie ?), des propositions de week-ends ski (pas simple de courir en montagne avec des chaussures de ski aux pieds), la régularité de dîners-et-soirées-d’anniversaires-impossibles-à-refuser (ou en tous cas, que je ne voulais pas refuser) durant lesquels de bons champagnes-vins-rhums accompagnaient de succulents repas, rendaient la sortie du lit à 5h30 de plus en plus compliquée !
Et pourtant un matin, à court de mauvaises excuses (bon en fait j’en ai bien d’autres dans ma besace, mais je ne préfère pas toutes les dévoiler…), je tombai « par hasard » (oui, entre-guillemets, je ne crois pas trop au hasard) sur les vers libres de la poète Nigérienne Ijeoma Umebinyuo :
« Start Now. Start where you are. (Commence maintenant. Commence là où tu es).
Start with fear. Start with pain. (Commence avec peur. Commence dans la douleur).
Start with doubts. Start with hands shaking. (Commence avec des doutes. Commence avec les mains tremblantes).
Start with voice trembling, but start. (Commence avec la voix tramblante, mais commence)
Start and don’t stop (Commence et ne t’arrête pas)
Start where you are, with what you have. (Commence là où tu te trouves et avec ce que tu as)
Just Start ! » (Simplement : Commence !).
(En complément, je vous invite à voir sa présentation lors d’une conférence TEDx « Dismantling the Culture of Silence »)
Conforté par ces phrases aiguisées, tranchantes comme les lames d’une épée, je coupai ainsi court à un long débat qui n’avait que trop duré, entre mon cerveau et moi-même (oui, j’ai de beaux débats intérieurs…) ; “Le sport ne forge pas le caractère. Il le révèle” disait l’auteur américain Heywood Hale Broun.
Alors, plutôt que de calquer un programme qui ne me correspondait pas, j’ai tout repris à zéro et, repensant à mes cours de management, défini des objectifs « S.M.A.R.T. » (Merci Bob ! … Oulala, si un jour on m’avait dit que je remercierais mon prof de compta… Wouah, j’ai bien changé ! #instantdegratitude):
– Spécifique (quel est mon but à atteindre, tout en étant faisable ?) : Finir le semi-marathon !
– Mesurable (avoir une idée de l’évolution du projet en cours d’exécution) : Faire au moins 1 sortie par semaine et compléter par du Yoga et faire une sortie de 16 kilomètres 3 semaines avant la date de l’épreuve (d’aucun dit que si cette distance est parcourue avant un semi-marathon, c’est que vous êtes prêt pour courir 21,4 kms !).
– Ambitieux et/ou Acceptable (définir un objectif assez ambitieux, mais atteignable, pour donner le meilleur de soi-même) : Finir le semi-marathon de Bordeaux sans râler en courant de bout en bout, donc sans marcher une seule fois !
– Réaliste (afin de ne pas avoir à douter, ne serait-ce qu’un instant, du fait que le projet soit réalisable, quelles que soient les difficultés qui surviendront) : heuuu… en moins de 2h30 ? En moins de 2h15 ? En moins de 2h00 ? En moins de 1h50 ?… allez, disons en moins de 2h10, vu « l’état du chantier » !
– Temporel (limité dans le temps, c’est à dire en respectant un certain délai) : là c’était simple, la date du semi-marathon de Bordeaux !
Le mental ayant repris le dessus sur le physique, les douleurs ont étonnamment commencé à s’estomper, le souffle s’est affiné et le tout combiné à quelques séances de course en fractionné (histoire de s’amuser un peu) la foulée s’est faite plus véloce !
Et à mesure que les jours nous rapprochaient du semi-marathon, la trouille l’excitation montait crescendo.
Comme il ne vous a pas échappé qu’un de mes objectifs était de courir 16 kilomètres, je me permets une dernière petite anecdote : un samedi matin, 3 semaines avant le semi-marathon, je me décidai à partir affronter les rues de Bordeaux en short-T-shirt-baskets (oui, et chaussettes…) et armé de ma plus grande motivation (et de ma meilleure playlist) !
Si les 15,99 premiers kilomètres se passèrent merveilleusement bien, en revanche, les 10 derniers mètres furent, eux, témoins d’un dramatique accident qui faillit tout remettre en cause !
Après avoir couru dans des parcs et le long des quais de la Garonne, je décidai de finir ma boucle en prenant un raccourci par une rue aussi trouée qu’une tranche de Gruyère Suisse Emmental (il n’y a pas de trous dans le Gruyère Suisse). En effet, les rues de Bordeaux sont, par endroits, assez similaires à celles de Jakarta (comprenez : avec de sacrés embouteillages, des trous dans les trottoirs, les vélos et scooters qui roulent sur les trottoirs-réservés-aux-piétons, rats…) et surtout la chaussée, éventrée en plusieurs endroits, dû aux multiples travaux qui jalonnent les rues, rend la circulation pour le moins folklorique : les sens de circulation changent sporadiquement !
Et c’est alors qu’une plaque de bois couvrant un des trous, eut la bonne idée de se relever légèrement juste au moment même où mon pied allait y déposer tout mon poids, fauchant ainsi net ma foulée.
Pris dans mon élan, je commençai – chose assez peu naturelle quand on court – à décoller et m’envoler (sans poussière de fée, cependant), avant de m’étaler contre le sol dans la dignité la plus absente, comme savent la révéler les plus belles chutes (comprenez donc : comme une grosse crêpe), mes mains et genoux étant les premiers émissaires à faire connaissance avec le bitume fraîchement coulé autour de la dite plaque !
Me relevant, engourdi, je constatai alors quelques égratignures, dont un généreux échange peau/bitume au niveau de la paume des mains et des genoux, agrémentées de quelques petits gravillons collés aux avants bras et balayés d’un revers de la main…
La course ainsi terminée avec panache, je rentrai boitant, la cheville un peu foulée, l’idée d’annuler ma participation à l’épreuve commençant à lentement germer dans mon esprit encore groggy, à mesure que mes pas me rapprochaient de mon domicile.
Décidément, la Vie est une véritable “Comedia del Arte” : un jour tu pleures, le lendemain tu ries… Un jour tu coures, le lendemain tu tombes !
Cependant, “La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester là où on est tombé” disait Socrate. Et Confucius de renchérir : « Notre plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois que nous tombons ».
Réconforté par ces citations millénaires et surtout le temps faisant son œuvre, les plaies nettoyées et les pansements posés, les plaies cicatrisèrent à temps et la foulure de la cheville s’évanouit de la même façon.
A croire qu’on ne conquiert pas de victoires, si petites soit elles, sans y laisser quelques égratignures !
Ainsi, je me sentais – presque – prêt pour le jour J !
Ce qui sera l’occasion d’un prochain article…
(1) liens Article AutoPlus : https://news.autoplus.fr/Velo-cycliste-trottoir-reglementation-PV-1494302.html
Un autre lien utile : http://velo-cite.org/dix-conseils-aux-cyclistes-debutants-ou-non/
(P.S : la chute a effectivement bien eu lieu quelques jours avant le semi-marathon et toute analogie avec des événements autres qu’une activité sportive serait purement fortuite… Ah oui, c’est vrai : je ne crois pas au hasard ! Décidément, la Vie a une façon bien à elle de vous envoyer des messages !)
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Mise à jour de Septembre 2023 :
Après-plusieurs années sans grosse course organisée à Bordeaux (à part “Octobre Rose”, ou les “10 kilomètres de Bordeaux”), une nouvelle édition du Semi-Marathon de Bordeaux est organisée en 2023 et se déroulera le dimanche 3 décembre 2023 à partir de 9h00… Il se déroulera donc de jour. Et Pour les inscriptions : https://www.semidebordeaux.fr.
En espérant qu’il ne pleuve pas ou qu’il ne neige pas !
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Mise à jour d’Avril 2019 :
Cette année, le marathon et le semi-marathon de Bordeaux auraient dû se dérouler le 27 avril 2019. Mais les samedis étant régulièrement animés par de violentes manifestations régulières des “gilets jaunes”, les organisateurs ont préféré jouer la sécurité et ont donc reporté l’organisation de l’évènement au 26 Octobre 2019. Pourquoi aussi tard dans l’année ? Afin de conserver les mêmes conditions, à savoir : courir en nocturne.
Les inscriptions sont donc toujours ouvertes sur le site internet . Et personnellement, j’avoue égoïstement préférer courir en octobre plutôt qu’en avril. Il est en effet plus facile de s’entrainer aux beaux jours qu’en plein hiver !
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