Kuta, un (arrière) goût de paradis à Bali
Selamat Siang (bon apres-midi) Ami Lecteur,
Préambule : Vous retrouvez dans cet article mes impressions livrées peu après mon arrivée d’expatrié à Bali, ainsi que des idées sur quoi faire et quoi visiter si vous séjournez à Kuta – ou à Seminyak – durant votre séjour sur l’île des Dieux (c’est un peu plus bas dans l’article…).
« Si loin que vous alliez, si haut que vous montiez, il vous faut commencer par un simple pas », écrivait François Cheng.
Et ce premier pas, ainsi que ceux qui l’ont accompagné m’ont porté…
Porté depuis les rues pavées des quartiers de Bordeaux, aux bords de plages d’îles perdues au milieu du Pacifique, des crêtes des montagnes aux fonds sous-marins, des sentiers de la forêt Landaise, aux remparts des temples millénaires et puis, après un original détour par les rues de Cergy-Pontoise, me voici à arpenter les rues de Bali et plus précisément celles de Kuta comme nouveau terrain de jeu…
Différents paysages donc, où les platanes et les champs de maïs des bords de route du Sud Ouest de la France ont cédé la place aux palmiers, cocotiers et rizières (oui, ça change un peu…) !
Arrivée à Kuta, Bali
Après 9 mois passés sur l’île de Java, me voici donc installé sur une autre île, certainement la plus touristique de l’archipel Indonésien : Bali (car oui, Bali est bien située en Indonésie… et non, l’Indonésie n’est pas la Malaisie, comme j’ai pu l’entendre dire…).
Située entre Java (à l’ouest, à moins de 3 kms à vol d’oiseau) et Lombok (à l’est), Bali fait partie des petites îles de la Sonde.
Ses 4 millions d’habitants se partagent un territoire de 5600 km2, divisé en 8 royaumes – « kabupaten » – qui existaient bien avant la colonisation hollandaise.
Si Denpasar est la capitale administrative de l’île (et le nom de l’aéroport), les 3 millions de touristes qui y débarquent chaque année, viennent plus pour découvrir Kuta, Seminyak, Ubud, Sanur ou Jimbaran et profiter ainsi des activités offertes par les plages, ou encore faire des promenades dans les rizières, des treks dans les crêtes des volcans, parfois découvrir un peu de la culture locale en visitant les différents temples, mais surtout faire la fête !
Et visiblement, il y a un autre business touristique en plein développement, celui des cliniques de chirurgie esthétique. Elles fleurissent un peu partout et proposent tout un panel de soins : chirurgie laser, liposuccion, botox, chirurgie des seins, et du nez, et du cou, et du front, et des lèvres et des… Enfin bref tout est possible ! Les touristes s’y pressent car les prix pratiqués défient largement ceux des praticiens plastiques dans les pays développés…
Quitte à venir bronzer à Bali, autant en profiter pour se faire tirer… la peau, bien sûr ! Vive le tourisme esthétique !
Et à propos de “tourisme”, vous trouverez un peu plus bas dans cet article différentes activités à faire depuis Kuta, si vous aviez envie d’y séjourner.
Dans un pays à majorité d’obédience musulmane, Bali fait office de résistant, puisqu’elle est la seule île hindouiste d’Indonésie, religion héritée des Indiens qui ont aussi occupé l’archipel… J’écris « aussi », car du fait de sa situation géographique, l’histoire de ce pays est d’une complexité rare, faite de colonisations successives, d’établissements de comptoirs marchands, de désirs d’indépendance, de guerres d’unification de territoire, et j’en passe…
D’ailleurs, les Balinais, bien que parlant le Bahasa Indonesia (puisque c’est la langue commune au pays) ont aussi leur propre dialecte, d’origine Indienne. Et la plupart des panneaux de noms de rue portent les 2 écritures : un lisible (grâce aux hollandais, on partage le même alphabet) et un dérivé de l’écriture “pallava” (retrouvée dans le sud de l’Inde), aux formes beaucoup plus artistiques. Assurément esthétique, mais pas toujours facile pour retrouver son chemin, pour l’étranger que je suis…
Découverte de Kuta à Bali : des contrastes étonnants
Surnommée « l’île préférée des Dieux » en référence aux milliers de temples que l’on trouve partout. Car en plus des temples officiels pour les cérémonies, chaque construction a son autel propre, petit ou grand : devant les maisons, aux abords des ponts, aux intersections, dans les magasins, devant les hôtels, dans les restaurants, les boites de nuit (quand on voit ce qui se passe dans certains night clubs, alcool, décibels pousses aux extrêmes, les Javanaises aux mini-jupes outrageusement courtes et aux formes artificiellement arrondies, je me demande si les Dieux fréquentent l’endroit !)…
Décidément, il y a toujours des contrastes qui étonnent à Bali !
Car les mini-juppes javanaises la religion est omniprésente à Bali.
D’ailleurs, les Balinais ont organisé leur vie autour des cérémonies et des cultes aux Dieux (même si de plus en plus, le Dieu argent prend une place importante dans la société…), depuis le matin où, en vêtements traditionnels, ils viennent déposer des offrandes (un petit panier tressé en feuille, des fleurs, un bâton d’encens, un biscuit, quelques gouttes d’eau bénite et des incantations les mains jointes avec des fleurs entres les doigts) aux entrées des ruelles, dans les petits temples des maisons, dans les bureaux (en gros : partout où il y a un petit autel), jusqu’au soir où certaines rues peuvent être fermées car une cérémonie se déroule et dans lesquelles l’on voit affluer hommes et femmes, portant les offrandes sur la tête, vers le temple principal.
Si cela est étonnant au premier abord (et toujours en fait…) et reste une fantastique occasion de faire de belles photos pour le « touristus simplex » (le simple touriste), il faut avouer en revanche que cela complexifie parfois un peu la gestion des emplois du temps du personnel quand on reçoit un SMS à 10h du soir disant : « désolé, Pak demain je serai en retard, j’ai une cérémonie chez moi »…
Ou encore, quand on reste coincé dans des embouteillages pendant 1 heure, parce que la route est bloquée pour cause de cérémonie (en même temps, j’aurais dû m’en douter : la veille, ils dressaient des tentes et des chaises aux abords du temple).
Enfin, cet attachement aux cultures ancestrales est ce qui fait aussi le charme de Bali et sa richesse. Donc à moi d’en accepter le fonctionnement et de respecter la culture locals, à défaut de toujours bien en saisir les subtilités, car «embrasser la variété des différences, voilà la richesse » (Tchouang-tseu)…
Même si parfois ces différences nous dépassent largement ! Et je crois que pour « l’homo-occidentalus », ce pays apprend – entre autre – la patience (ou augmente le stress, c’est selon).
Kuta Beach : Histoire d’un Endroit Magique (en résumé…)
Enfin bref, je travaille donc désormais à Kuta !
Et Kuta est un endroit vraiment magique…
Un calme petit village de pêcheur (ayant connu ses heures de gloire au 19e siècle, en devenant le principal port du sud de Bali, sous l’influence d’un marchand Danois, Mads Johansen Lange), avec une belle plage desquelles les hommes des mers embarquent dans leurs pirogues à balancier colorées pour affronter les vagues et revenir les filets remplis de poissons à la chaire tendre.
Ces mêmes poissons frais que les occupants des petits « warongs » sur la plage cuiront au barbecue, accompagnés de riz, d’épices et de « sambal », cette délicieuse sauce rouge pimentée (très pimentée, très très pimentée), tellement pimentée qu’elle explose dans la bouche, fait pleurer, transpirer (et à mon avis fait des trous dans l’estomac) et dont raffolent les Indonésiens…
Elle est soit-disant idéale pour « tuer les toxines » … enfin, je dirais idéale pour tuer le goût, surtout !
L’endroit est donc parfait pour se reposer, à l’abri des palmiers, face à la mer et aux caresses des vagues de l’océan indien sur le sable chaud des plages !
Enfin, ça c’était avant, bien avant…
Car Kuta n’a cessé de se développer depuis les années 60, la destination faisant partie de la légende des « 3 K », surnom que les hippies avaient donné aux lieux de pèlerinages initiatiques avec Katmandou et Kaboul…
Donc l’endroit est devenu vraiment magique !
Bon, honnêtement ?
Sincèrement ?
Pas vraiment, malheureusement…
En fait, ce qui est dommage, c’est qu’il aurait pu vraiment l’être, magique !
Car aux paysages de plages, bordées de rizières et de palmiers, où se mêlent bateaux de pêcheurs, paillotes et surfeurs baba-cools venus profiter des vagues qui déroulent à intervalles réguliers, la carte postale du Kuta des années 60 s’est transformée en un autre paysage, plus bétonné aujourd’hui.
Des constructions destinées à accueillir du tourisme de masse, des rues serrées, encombrées où cohabitent difficilement voitures, piétons et mobylettes (il faut voir les embouteillages aux heures de pointes, et encore sans la pluie…), des magasins de souvenirs, des restaurants, des hôtels toujours plus gros et le tout sans grande cohérence (à l’image des constructions électriques).
Que Faire à Kuta ?
> du Shopping et des Balades dans les Rues
Pour le piéton qui souhaite se balader dans Kuta, c’est découvrir un monde étrange, qui pousse à développer le sens de l’humour afin d’apprécier l’endroit.
Entre les magasins qui vendent des gadgets et sculptures aux formes douteuses (beaucoup de symboles phalliques), ceux qui sont remplis de T-shirts et paréos logo-typés « Bintang » (la bière locale, dont raffolent les touristes tatoués australiens, à la classe assumée … quand ils ne se baladent pas torse nu), de chapeaux, de “vraies fausses” lunettes de soleil, des T-shirts « marcels » et autocollants aux messages “humoristiques” (« Mike is gay », « My girlfriend is hot »…), en passant par les échoppes qui vendent des copies de DVD (bon, ça s’est bien pratique durant les soirées de la saison des pluies) et des imitations de montres de luxe… Le choix est vaste ! Et l’impact du tourisme de masse, malheureusement pas très positif.
D’autant plus qu’ils sont alignés les uns à côté des autres, dans les rues les plus passantes.
Mais le plus amusant sportif est de slalomer entre les rabatteurs de restaurants, des salons de tatouages, de salons de massage et les moto-taxis improvisés qui proposent leurs services (“transport, boss ?”) !
Car ils sont capables de tout vous proposer les bougres : un Taxi / un Massage / un Restaurant / une mobylette (c’est selon…), puis surtout de tout et dans l’ordre :
– Du Viagra
– Des Champignons (c’est pas forcément légal, tout comme les autres drogues)
– De la Drogue (marijuana, cocaïne, ecstasy…)
– Des Massages,
– Des « Sexy massage »
– Des « Hot girls » (ils ne précisent d’ailleurs pas si elles sont jolies, et encore moins l’âge…)
Et oui, cela traduit une triste réalité, conséquence du tourisme de masse qui tend à se développer à Bali : Sexe, Drogue et Alcool (Un sujet qui pourrait plaire à Bernard de la Villardière, pour ses « Enquêtes exclusives »)!
Par chance, cela est plutôt concentré sur une portion restreinte de Kuta.
Et l’endroit évolue, sous l’impulsion d’investisseurs indonésiens : des centres commerciaux luxueux (Lippo Mall, Discovery Mall, Beach Walk…) viennent damer le pion aux étals et des hôtels 5 étoiles remplacent les petites guesthouses familiales, et des trottoirs permettent aux piétons de marcher en sécurité (et aux scooters d’éviter les embouteillages). Le problème est que les investissements privés se développent plus rapidement que les investissements publics (la gestion administrative ici est un vrai poème… oui, en alexandrin et tout…), donc de beaux (?) projets immobiliers fleurissent un peu partout, mais les routes, trottoirs, transports en commun ne suivent pas aussi rapidement…
Même si un magnifique terminal aéroportuaire international, une route à péage, ou un sous-terrains ont été récemment ouverts, améliorant – temporairement – le quotidien des usagers.
> Profiter de la Plage
Sur l’immense plage de Kuta à Bali, une grande baie en arc de cercle, les touristes viennent prendre le soleil, surfer les vagues (ou faire du body board), jouer au foot ou au beach volley avec quelques indonésiens, se faire masser sur la plage, ou lire, boire des bières (c’est toujours classe à la plage !)…
Alors que les Indonésiens seront plus occupés à essayer de louer des planches de surf, vendre des boissons/chichis/glaces (tiens, ça me rappelle les plages atlantiques), des fausses montres, ou autres objets bizarres, voire jouer aux échecs, draguer les touristes.
Et le meilleur moment, c’est quand un serveur d’un petit “warung” de plage va surfer une vague entre 2 prises de commandes et revient juste à temps pour servir la table !
Dure la vie à Kuta et à Bali !
(Mise à jour avril 2023 : )
Et si vous venez à Bali pour surfer, Kuta Beach est un bon endroit pour débuter, car les vagues sont régulières.
Cependant, si vous avez déjà un bon niveau, vous trouverez de nombreuses plages pour surfer ; je vous conseille d’ailleurs la vidéo suivante, que je trouve assez complète et très intéressante :
(fin de mise à jour avril 2023)
Mais fort heureusement, Kuta n’est pas Bali ! Et cette ambiance est loin, très loin de représenter les Balinais et l’âme balinaise.
Il suffit d’ailleurs de s’éloigner un peu des grosses zones touristiques pour découvrir une étonnante sincérité dans leur accueil, associée à une extrême gentillesse et aux doux sourires lorsqu’on leur répond. Et à cela s’ajoute une incroyable quiétude de vie, bien loin du rythme frénétique occidental…
Si cela est charmant au premier abord, il faut avouer que quand on bosse avec eux, ils sont peut être – parfois – un petit peu trop calme… Et de temps en temps, ce serait bien qu’ils soient « un petit peu plus moins calme ». Mais bon, un gros avantage : ils sourient tout le temps, sont toujours content de vous voir, peuvent rire 10 fois à la même blague (salasse de préférence) et franchement : ça fait plaisir !
Et c’est d’ailleurs dans les endroits moins touristiques, que l’on réalise combien la religion et l’art sont intimement liés à la vie quotidienne : les Balinais ont un vrai savoir-faire dans la construction, la sculpture sur pierre, sur bois, la confection de tissages, la réalisation de peinture… Et bien sûr les temples sombres construits en pierres volcaniques, sont colorés d’étoles et de fleurs multicolores et odorantes. Les portes en bois elles mêmes sont superbes, avec des sculptures détaillées et au sommet desquelles un détail peut étonner : on y trouve en effet régulièrement une croix gammée. Il faut dire que loin du symbole funeste qu’elle pouvait représenter en Europe il y a quelques années, c’est en fait le symbole du soleil dans la religion hindou (il est vrai qu’Adolf Hitler avait étudié les beaux arts…).
Mais là où la magie opère vraiment, c’est lorsqu’au détour d’un village, on découvre les processions vers les temples : les familles entières, en tenues traditionnelles blanches, une fleur à l’oreille, affluent vers le temple central, les bras chargés d’offrandes, ou encore quand ici où là, on distingue une femme traverser une rizière au vert éclatant, pour déposer ses offrandes dans l’autel situé à l’abri d’un palmier, sacrifiant ainsi un instant de son activité quotidienne, au rituel religieux, rituel qui uni définitivement Bali à ses Dieux.
Le soir, les Indonésiens rejoignent les touristes qui sur la plage pour admirer le même spectacle : le coucher de soleil dans la douceur de l’océan indien.
Et à mesure les couleurs changent, le ciel s’anime à la faveur de la brise marine par la présence de centaines de cerf-volants qui se dressent fièrement vers le ciel : après les « cerfs-volants de Kaboul », les cerfs-volants de Kuta Bali…
Car les cerf-volants sont une véritable tradition à Bali, mélange de mysticisme et d’amusement. Il y a même des festivals organisés chaque année ! Il n’est pas rare de voir d’énormes structures portées par 2-3 personnes sur une mobylette, en direction des plages ou d’espaces vierges afin de faire voler leur construction.
Le cerf-volant traditionnel peut revêtir des formes différentes : le Be-bean (poisson), le Janggan (dragon) ou le Pecukan (cerf-volant avec deux coins), ou des créations libres (bateau…).
Lors des festivals, il revêt une vraie fonction car il est utilisé comme un moyen de communiquer avec les Dieux (attirer les bonnes récoltes).
C’est pour cela que ce sont les hommes qui le manipulent, plus que les femmes, car selon la tradition, seuls les hommes sont dignes de communiquer avec les Dieux (je m’abstiendrai donc de tout commentaire, bien que ce soit super tenant…) !
Mais les festivals sont aussi l’occasion de faire la fête en musique, de rigoler et de s’amuser…
Et au quotidien, c’est surtout une bonne façon de se distraire, avant d’aller chercher une échelle pour chercher sa construction dans l’arbre voisin !
Un peu plus tard dans la soirée (oui, le soleil se couche à 19 heures, ça laisse donc peu de temps…), ce sont des feux d’artifices et des pétards avec lesquels les enfants aiment s’amuser, histoire de mettre un peu de couleur dans le ciel étoilé.
Une autre activité dont sont friands les Indonésiens à Kuta, c’est la pêche dans les rivières !
En effet, une “jolie” rivière traverse Kuta à Bali. Les berges étant accessibles, les Indonésiens aiment venir s’y asseoir, déplier une canne, mettre un appât au bout de la ligne et d’un geste élégant le laisser filer le long du courant, puis attendre qu’un quelconque poisson vienne mordre a l’hameçon…
Mais vue la couleur de l’eau (un bon marron, avec parfois de la mousse, lorsque la « laundry » du coin déverse ses produits chimiques), charriant sacs plastique, branches et autres objets aux formes indistinctes, je ne préfère pas voir la tête du poisson ni découvrir le goût de sa chaire…
Heureusement Bali ne se résume pas à Kuta (tout comme Paris ne représente pas la France !) et de nombreux autres endroits permettent d’apprécier l’île des Dieux… Car elle concentre tout ce que l’on peut trouver en Indonésie : volcans, rizières, culture, plages, plongées…
Que visiter depuis Kuta Beach, ou depuis Seminyak ?
L’un des un gros avantage de Kuta est d’être au centre névralgique de Bali (en plus du côté très abordable de l’hébergement, quelque soit la catégorie sélectionnée) !
Ainsi, depuis Kuta (mais aussi depuis Legian ou Seminyak), vous pourrez aisément :
- faire une randonnée en mode éco-tourisme, à la rencontre des communautés locales avec Krystyna Krassowska de IdGuides.
- accéder à de belles plages au Sud, sur le Bukit (pour les surfeurs avides de grosses vagues) : Balangan, Bingin, Padang Padang.
- passer une journée sur une plage de sable blanc face à un beau lagon, aux eaux turquoises, vers Nusa Dua, comme à Pantai Geger par exemple.
- rejoindre Ubud, le centre culturel de Bali, et voir des temples et les rizières de Tegalalang.
- Voir le Temple de Tanah Lot, pour admirer le coucher de soleil. Vous pouvez le combiner lors d’une journée d’excursion avec les rizières de Jatiluwih et le Temple Ulun Danu Beratan (par exemple).
- Visiter le “Water Palace” de Tirta Gangga, à l’Est de Bali.
- Découvrir les temples de Tirta Empul, Gunung Kawi ou encore Goa Gadja (situés à proximité d’Ubud).
- Faire de la Plongée vers Nusa Penida ou vers Amed.
- Aller voir le Lac Batur et faire l’ascension du Mont Batur.
- Vous faire masser pour – vraiment – pas cher, dans un des nombreux salons de massage, ou sur la plage.
- Acheter plein de souvenirs avant de repartir…
Voici quelques exemples d’activités et de visites que j’ai faites depuis Kuta à Bali :
— Mise à jour du 30 août 2019 :
Malheureusement, certains touristes semblent parfois penser que tout est permis à Bali, et ont des comportements peu respectueux – voir carrément outranciers pour certains, à l’instar de ces 2 touristes tchèques se filmant entrain de se “mouiller les fesses avec une eau bénite !”.
C’est pourquoi, afin d’éviter tout incident diplomatique, je vous invite donc à lire cet article qui souligne quelques règles de respect et de bienséance envers les Balinais !
— Fin de la mise à jour —
Et en ce 26 décembre 2013, vu que les décorations de Noël (les sapins, guirlandes, boules, neige artificielle, chants…) envahissent les hôtels, boutiques et centres commerciaux de Kuta Bali – alors qu’il fait 30 degrés dehors (je dois avouer que le sapin décoré de ses boules et guirlandes, à deux pas de la piscine, ça fait un drôle d’effet…) – j’en profite pour vous souhaiter de bonnes fêtes et que Noël vous apporte joie, sérénité ainsi que la capacité de rester « attentif à ces instants de grâce qui se donnent en silence, de s’ouvrir à la beauté des êtres et des choses, de continuer à croire qu’un effort secret soutient le monde et l’empêche à chaque instant de tomber dans l’abîme de la haine et de la violence, et d’y participer en prenant soin de tout ce qui tente de germer » (Martine de Sauto).
(Et soit dit en passant, je me rends compte que ça fait super classe de commencer et terminer un article par des citations, enfin bon, je dis ça, je dis rien…)
Pour aller plus loin dans l’organisation de votre séjour, je vous conseille le Guide du Routard, ou le Lonely Planet qui m’avaient accompagnés lorsque j’habitais à Bali :
(pour info et être transparent avec vous, ce sont des liens affiliés ; en les achetants via ces liens, vous ne payez pas plus cher et permettez de récompenser cet article)
A bientôt pour la suite…
1 commentaire
Gros bisous et joyeux Noël quand même sous le soleil !
Bisous mon PJ